Mauritanie : le douloureux réveil de l’après-Tabaski
18 octobre 2013
La fête est maintenant derrière non. Ou plutôt non. Certes le mouton du sacrifice a bien été consommé, les beaux habits portés avec panache et parfois un brin d’orgueil et les rencontres entre membres d’une même famille, proches et amis vécus comme les meilleurs moments de la vie. Maintenant, les pères de famille sont laissés seuls face à l’après fête. Et oui, les bobos ne font que commencer. Il faut…