« Cultures » sur les deux rives
7 octobre 2012
Le mauritanien qui traverse le fleuve Sénégal n’a pas à aller très loin pour constater la différence notoire qui existe entre ici et là-bas. A cinq cents mètres du débarcadère, les champs de canne à sucre s’étalent à perte de vue, donnant la preuve que le fleuve qui constitue pourtant la frontière naturelle entre la Mauritanie et le Sénégal porte bien son nom. Et ce sera ainsi tout le long…