Je persiste et signe
La Mauritanie est malade de sa classe politique. Il y a les opportunistes de la majorité mais aussi les aigris de l'opposition. Entre les deux, une minorité de patriotes qui cherchent à sauver ce qui peut encore l'être. On n'est pas condamné à rester à l'opposition mais quand on va avec le pouvoir, on ne doit pas oublier d'où l'on vient. Le justifiable n'est pas le juste tout comme l'opinion n'est pas (forcément) la vérité.